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Start learning
Les conciles œcuméniques de Constantinople III et NICEE II.
Domaine Univers social et environnement Sous domaine Univers Social et Environnement
Section Scientifique Option Biologie Chimie
Discipline Religion Classe 6ème
Matériel didactique Craies et Bible Auteur SCHOOLAP.COM
Objectif opérationnel A la fin de la leçon, l’élève sera capable d’expliquer le pourquoi et le contenu du concile.
Réference Encyclopédie de protestantisme et l’histoire de l’église.
Activité initiale

Rappel

Qu’avons-nous appris la fois passée ?

Rappel

La fois passée, nous avons appris sur les conciles œcuméniques de Chalcédoine et Constantinople II.

Motivation

Pourquoi on étudie les différences ?

Motivation

On étudie les différences parce qu’elles nous aident à établir les distinctions. 

Annonce du sujet

Qu’allons-nous étudier aujourd’hui ?

Annonce du sujet

Aujourd’hui, nous allons étudier les conciles œcuméniques de Constantinople III et NICEE II.

Activité principale

Analyse

Quels sont les derniers conciles œcuméniques reconnus par l’Eglise catholique romaine et orthodoxe ?

Le concile de Constantinople III est convoqué par qui et en quelle année ?

Que condamne et qu’affirme ce concile ?

Le concile de NICEE  fut convoqué par qui et en quelle année ?

Analyse

Les deux derniers conciles œcuméniques reconnus sur les sept sont:  Constantinople III et NICEE II. 

Le concile œcuménique de Constantinople III est convoqué par Constantin IV, en 680.681. 

Le concile condamne les minitélistes qui affirment que le Christ a une seule énergie, une seule volonté divine, malgré ses deux natures.

Le concile de NICEE II fut convoqué par IVENE L’Athénienne, en 787.

Synthèse

Qu’affirme le concile et que condamne-t-il  ?

Le concile affirme que l’honneur  rendu aux images s’adresse non à l’image elle-même mais, à la personne qui y est représentée. Il établit une distinction entre l’adoration qui ne doit s’adresser qu’à Dieu et la vénération que l’on porte à des images des reliques ou à des saints, pour rendre grâce à Dieu. Il condamne les iconoclastes comme des négateurs de l’incarnation de Dieu.